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Communiqué de presse du Comité de campagne du 2 mai 2011
Aujourd’hui sort la première application Smartphone d’un candidat au Conseil national. Philippe Nantermod est déjà très actif sur Internet depuis des années et confirme sa volonté de dialoguer avec les citoyens valaisans en innovant, au moyen d’un logiciel compatible avec les téléphones iPhone, Android et Blackberry. Photos, vidéos, commentaires agenda, tout y est !
Depuis 2006, Philippe écrit et débat au travers de son blog, www.nantermod.com. Présent sur Facebook, Twitter et d’autres réseaux sociaux depuis des années, le candidat PLR valaisan s’engage à communiquer en permanence avec les citoyens valaisans et suisses afin d’appuyer sa politique sur un dialogue constructif.
Aujourd’hui, une innovation importante s’ajoute au panel des moyens de communication : les téléphones mobiles. L’application peut être installée gratuitement sur les téléphones fonctionnant avec les systèmes d’exploitation d’Apple, de Google et de Blackberry.
Outre le fait de pouvoir consulter les articles du blog, les « twitts », les photos et vidéos de campagne ou l’agenda du candidat, les utilisateurs peuvent laisser commentaires et photos sur toutes les pages de l’application. Mieux, les événements marquants de la campagne seront diffusés en live pour les utilisateurs de Smartphone.
Pour les Suisses, Internet est devenu la première source d’information, devant les médias traditionnels. Cette nouvelle application constitue un véritable outil d’information et d’échange entre un candidat soucieux de dialoguer et des citoyens de plus en plus ouvert au débat et à l’échange.
L’application peut être téléchargée gratuitement sur les iTunes Store,  Android Market et Blackberry App World en tapant simplement « Nantermod ».
L’article du Matin Dimanche

Communiqué de presse de mon comité de campagne du 6 avril 2011.
Suite à la désignation de la liste PLR VS au Conseil national, composée de Jean-René Germanier, Laetitia Massy, Frédéric Delessert, Xavier Moret et Philippe Nantermod, la campagne démarre. Le slogan du candidat chablaisien est dévoilé aujourd’hui : « du cran, du cœur, passionnément ».
Présenté hier soir devant les représentants des sections PLR des districts de Monthey et St-Maurice, ce slogan est un rappel du slogan histoire du Parti radical lors des grandes années. Rappelant la liberté et la responsabilité, le cran et le cœur sont les atouts indispensables d’une personne qui s’engage en politique pour améliorer le monde dans lequel elle vit.
La passion est aussi une des caractéristiques du candidat Philippe Nantermod, qui s’engage depuis dix ans avec une immense motivation. Cette passion, il en aura besoin à Berne pour défendre au mieux les intérêts des Valaisans, que ce soit en matière d’infrastructures, d’économie ou de sécurité.
Les sections libérales-radicales des districts de St-Maurice et de Monthey ont aussi apporté leur soutien inconditionnel à la candidature de Philippe Nantermod et sont prêtes à mettre du cran, du cœur et du temps pour offrir un deuxième siège au PLR le 23 octobre prochain.

Communiqué de presse de mon comité de campagne
Cette journée du 31 mars restera à coup sûr une journée clé dans la vie de Philippe Nantermod ; finir son stage d’avocat et être désigné officiellement candidat au Conseil National en moins de 24 heures, voilà ce qu’on peut appeler une journée bien remplie!
C’est devant un parterre de plus de 350 personnes, réunies dans la salle polyvalente de Charrat pour l’assemblée générale du PLRVS, que se sont exprimés tour à tour les différents candidats à une place sur la liste PLR pour les élections au Conseil National. Se sont ainsi succédés à la tribune le sortant Jean-René Germanier, le Sédunois Frédéric Delessert, la Sierroise Laetitia Massy, le Martignerain Xavier Moret et le Morginois Philippe Nantermod, dont les candidatures ont été acceptées à l’unanimité par l’assistance.
Dans un discours enthousiasmant, Philippe Nantermod nous a proposé de suivre les conseils de Churchill et “d’agir comme si il était impossible d’échouer”. Il a demandé à tous de le suivre dans l’arène afin de convaincre partout où se trouvent les valaisans et d’ainsi gagner ensemble ce deuxième siège libéral-radical tant convoité; le gagner pour la Suisse, pour le Valais et pour la liberté!
Avec du cran, du cœur et de la passion, Philippe Nantermod a su, par son premier discours en tant que candidat officiel, lancer la campagne au National 2011 de la plus belle des manière, en galvanisant les troupes et en nous emmenant avec lui dans son rêve de voir, au soir du 23 octobre, deux libéraux radicaux valaisans sous la coupole.
Le 2 décembre 2010, j’avais été désigné par le PLR des districts de Monthey et St-Maurice comme candidat pour la liste cantonale.
Retrouvez mon discours de lancement de campagne:

Le discours de présentation d’Eric Borgeaud, président du PLR des districts de Monthey et St-Maurice, au format PDF.

Communiqué des jeunes libéraux-radicaux valaisans
Pour la deuxième fois en quatre ans, les jeunes libéraux-radicaux suisses (jlrs) organiseront leur Congrès en Valais. Après Morgins en 2007, ce sera désormais à Crans-Montana de recevoir les jlrs durant le week-end du 26-27 mars 2011. Des invités de choix se succèderont, parmi lesquels M. le Conseiller fédéral Didier Burkhalter qui s’exprimera lors d’une soirée ouverte à toute la population.
Les jeunes libéraux-radicaux valaisans sont fiers d’organiser, à nouveau, l’événement majeur de l’année des jlrs. Avec plus de 150 jeunes issus de toute la Suisse, le Congrès 2011 sera l’occasion de traiter des sujets d’actualité brûlante et de préparer la campagne électorale jlrs pour les élections fédérales.
Le samedi 26 mars, dès 17h00, à la salle du Louché à Lens, les jlrvs ouvriront leur porte au public qui est cordialement invité à rencontrer les orateurs de choix qui feront le déplacement : le Conseiller fédéral Didier Burkhalter, le président du Conseil national Jean-René Germanier, le président du Grand Conseil Jean-François Copt, le Conseiller d’Etat Claude Roch ainsi que le président de la commune de Lens, M. David Bagnoud et le Président du PLRVs, Georges Tavernier.
La population sera à cette occasion conviée à un apéritif suivi d’une raclette géante. Les fans de football ne seront pas en reste: le match Suisse – Bulgarie sera diffusé pour l’occasion sur écran géant.
La soirée du 27 mars marquera aussi le lancement des campagnes des jeunes libéraux-radicaux de Suisse romande au Conseil national. Chaque président cantonal dévoilera sa stratégie et ses candidats pour les listes jeunes du Conseil national. En organisant pour la deuxième fois le Congrès suisse lors de l’année électorale, les jeunes libéraux-radicaux valaisans travaillent pour promouvoir la politique chez les jeunes et la défense de notre canton et de la Suisse romande !
Téléchargez le carnet de fête au format PDF

Emission Forum de la RSR, du 27 février 2011.
Chômage, plans d’austérité, Etats endettés: l’Europe pourrait-elle être guettée par des révolutions? Débat entre Paolo Gilardi, révolutionnaire, membre de la Gauche anticapitaliste genevoise, et Philippe Nantermod, vice-président des Jeunes libéraux-radicaux suisses.
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La récente polémique concernant le préfinancement de l’étude de réalisation de la rénovation de la ligne CFF de Lausanne à Brigue met en lumière la lenteur dramatique des prises de décisions. Le PLR considère ce projet comme une priorité absolue et invite les autorités à le soutenir fortement en accélérant au mieux les procédures décisionnelles.
8000 pendulaires circulent quotidiennement entre le Valais et le canton de Vaud, dont un nombre toujours croissant d’usagers des transports publics. De plus en plus de touristes choisissent le train pour rejoindre les stations du canton. Les étudiants sont très nombreux à rejoindre leur centre de formation par la voie ferrée. Ces
évolutions ont une conséquence flagrante pour les usagers: les trains valaisans sont
bondés et au bord de la rupture.
Le PLR se réjouit que le Conseil d’Etat valaisan ait pris les choses en main en proposant de préfinancer l’étude de projet en vue de rénover la ligne. Les mesures annoncées doivent permettre de diminuer les temps de parcours et d’introduire des véhicules à deux étages à plus forte capacité. C’est aussi l’occasion pour les CFF d’introduire des voitures modernes et confortables devant remplacer les wagons vétustes, bruyants et parfois sales que subissent actuellement les voyageurs valaisans.
Pour le PLR, il est regrettable que certaines autorités n’agissent pas plus rapidement. Le bassin de population concerné est gigantesque puisqu’il concerne, en sus du Valais dans son ensemble, l’entier de l’Est-Vaudois allant de Vevey à Bex. Chaque semaine de retard dans la prise de décision éloigne un peu plus la prise de position
finale au détriment des usagers.
Si certaines autorités devaient s’acharner à appliquer le slogan trop bien connu « hâte-toi lentement », le PLR pourrait soutenir l’idée d’un préfinancement 100% valaisan, étant entendu que les sommes injectées pourront être récupérées. Il serait néanmoins regrettable que l’entente entre les cantons ne permette pas une meilleure
harmonisation des investissements et des collaborations intercantonales plus efficaces. Toutefois, face à une situation d’urgence, des mesures d’urgence s’imposent.
Communiqué de presse du PLR Valais, du 9 février 2011.

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Que diriez-vous de payer une taxe de 10 ct. par centimètre cube de chaque réfrigérateur vendu pour amortir les coûts du vol à l’étalage ? Naturellement, chacun d’entre nous considérerait cela comme du vol organisé, comme le report sur les honnêtes citoyens des méfaits des autres.
Il s’avère que la SUISA, l’organisme chargé de récolter les droits d’auteur des musiciens, agit exactement de cette manière. Depuis plusieurs décennies, cet institut perçoit un impôt sur chaque cassette ou CD vierge vendu. Depuis lors, on le sait, la musique s’est considérablement dématérialisée et s’écoute sur des lecteurs MP3 comme le iPod ou sur des téléphones mobiles. Avec l’évolution de la technologie, on écoutera certainement encore des morceaux sur les appareils photos, les livres numériques ou n’importe quel support permettant d’enregistrer, entre autre, de la musique. Les taxes sur les iPads, les clés USB, les disques durs ou les consoles de jeux-vidéos sont déjà en préparation… au grand dam du consommateur honnête.
Ces nouveaux appareils ne servent pas qu’à écouter de la musique. Celui qui dispose d’un « Blackberry » ne l’emploie certainement pas à titre principal pour repasser en boucle les tubes des Beatles. On peut imaginer que la taxe touchera prochainement les fameuses tablettes numériques qui permettent, entre autres, de visionner des films, de lire ou de s’adonner à des activités purement professionnelles. On peut légitimement s’attendre à ce que les cinéastes, journalistes et écrivains y aillent chacun de leur petite taxe.
Le problème avec cet impôt, c’est qu’il ne correspond plus en rien aux consommations actuelles. Lorsque nous copiions de la musique sur des cassettes, il s’agissait pour l’essentiel de morceaux dont nous n’avions pas acquis les droits. Aujourd’hui, j’achète de nombreux titres directement sur Internet, tout à fait légalement, et je m’acquitte ainsi de la part qui revient légitimement à l’artiste. Au nom de quoi devrais-je encore engraisser la SUISA et son nombreux personnel administratif ? « Au nom du piratage », répondra la fondation concernée. Cette argumentation ne tient pas la route. Le prix des disques, comme celui des morceaux téléchargeables en ligne, inclut déjà les pertes induites par le vol à l’étalage ou le piratage. Or, en payant une deuxième fois les droits, je suis considéré comme un voleur de musique en puissance. Merci la présomption d’innocence…
Ces taxes sont récoltées en fonction de la capacité des appareils, et non de leur prix. On sait que la technologie évolue très vite et que la capacité de stockage augmente de mois en mois. Si la taxe se maintient au prix fixé, soit par exemple 30 ct. par gigaoctet pour les téléphones, le montant de l’impôt pourrait rapidement dépasser le prix de l’appareil. Plus encore que la TVA, la taxe sur les droits d’auteur contribue encore à renforcer l’îlot de cherté qu’est notre pays.
Il est évident qu’Internet a considérablement modifié les habitudes des amateurs de musique. Les majors se sont battus devant les tribunaux contre Napster et ses copies. Ils ont lourdement échoué à freiner la diffusion du contenu sur le réseau. De nouveaux modèles doivent certainement être trouvés pour assurer le revenu des musiciens. Ces modèles ne doivent cependant pas se faire sur le dos des consommateurs honnêtes.
Aujourd’hui, le combat est sur le terrain politique. Les jeunes libéraux-radicaux suisses, associés pour l’occasion au Parti pirate suisse, lancent une pétition en ligne sur le site www.tropdetaxes.ch. A terme, il s’agira d’agir au parlement fédéral pour demander l’abolition de ces taxes iniques, prélevées pour assurer le fonctionnement d’un appareil bureaucratique anachronique. Qu’on le veuille ou non, le mouvement engendré par la révolution numérique ne pourra être enrayé par des lois et des taxes. Et si la SUISA ne s’en rend pas compte, c’est elle qui risquera à terme de disparaître.
Signez la pétition sur www.tropdetaxes.ch !