Mesdames et Messieurs, Chers amis,
26’440. C’est le nombre de suffrage exprimés en ma faveur le 23 octobre 2011. Un tel soutien me touche sincèrement et dépasse les plus folles attentes de la campagne.
Durant six mois, nous nous sommes engagés, nous avons visitées plus de 80 communes du Valais, nous avons participé à plus de 150 manifestations, nous avons placé des banderoles, organisé des événements. Grâce au soutien de dizaines de volontaires, nous avons pu mener une magnifique campagne.
Aujourd’hui, je vous dis sincèrement merci. La deuxième place sur la liste PLR, le meilleur score du district de Monthey, le meilleur score individuel d’un candidat dans un district, le second meilleur résultat du Bas-Valais, le sixième meilleur score du canton, tout parti confondu.
Le 23 octobre, le PLR a progressé, d’environ 1%, et s’approche encore de son deuxième siège, sans le décrocher. Ce sera le cas en 2015.
La campagne au National fut l’occasion de découvrir des colistiers passionnés, travailleurs et sympathiques, je leur suis très reconnaissant de leur magnifique collaboration. Le PLR a des forces vives et un avenir prometteur.
Pour vous remercier comme il se doit, c’est avec plaisir que je vous convie le vendredi 25 novembre 2011, dès 18h00, au Café du Valais à Monthey (à côté de la gare CFF) pour un apéritif bien mérité.
En me réjouissant de vous revoir, je vous adresse, Mesdames, Messieurs, Chers amis, mes plus cordiales salutations, et me réjouis de vous retrouver pour de nouvelles aventures !
Philippe Nantermod
Catégorie : Autres
-
26'440 X fois merci !
-
"Je ne suis plus celui qui gueule… Maintenant, j’agis!"
Fabien Lafarge, dans le cadre de sa formation de journaliste, m’a interviewé le 2 septembre quelques heures avant le meeting concernant les nouvelles technologies. Avec l’aimable accord du CRFJ, vous pouvez retrouver le document au format PDF.
-
Comment voter pour Philippe Nantermod ?
La campagne arrive à son terme et le grand jour approche: les élections, c’est le 23 octobre, et soutenir Philippe Nantermod, c’est avant tout lui accorder votre vote. Face à la multiplication des listes, voici quelques conseils pour bien comprendre comment voter utilement au Conseil national.
Quelques règles utiles
Il y a quelques règles à respecter pour que votre vote soit valide:
– Ne jamais mettre plus d’une liste dans l’enveloppe.
– Ne jamais déposer une liste sur laquelle figure plus de 7 noms.
– Ne jamais oublier de signer la carte de vote.
Pour le reste, vous pouvez ajouter Philippe Nantermod sur toutes les listes du Conseil national, deux fois pour maximiser ses chances d’élection.
Nous vous proposons ici quelques exemples de vote utiles qui favorisent l’élection de Philippe Nantermod et l’obtention d’un deuxième siège PLR.1. Le vote PLR
De cette manière, vous accorderez un suffrage à tous les candidats PLR, deux à Philippe Nantermod et 7 au PLR.
2. Le vote 100% Chablais
De cette manière, vous accorderez un suffrage à tous les candidats des jeunes libéraux-radicaux du Chablais, deux voix à Philippe Nantermod et 7 suffrages à l’apparentement PLR.
3. Le vote sur les listes apparentées
Plusieurs listes sont apparentées au PLR. Cela signifie que les suffrages qui leur sont accordés seront, au final, additionnés pour établir le score du PLR et lui donner une chance de décrocher un second siège au Conseil national.
Les listes apparentées sont: les jeunes libéraux-radicaux Chablais et région (liste No 26), les jeunes libéraux-radicaux Martigny et Région (liste No 25), les jeunes libéraux-radicaux du Centre (liste No 26), le Parti libéral-radical du Haut-Valais FDPO (liste No 29) et Avenir Ecologie (liste No 27). En écrivant deux fois Philippe Nantermod à la main sur une de ces listes, vous augmenterez ses chances de succès d’obtenir le deuxième siège PLR.
En votant ainsi, vous accordez une voix à chaque candidat de la liste choisie, deux à Philippe Nantermod et 7 suffrages à l’apparentement PLR.
4. Le vote sur une liste blanche
5. Le vote au Conseil des Etats
Le 23 octobre, nous élisons aussi nos deux Conseillers aux Etats. Vous pouvez voter pour une multitude de personnes, mais nous vous recommandons vivement de voter pour Jean-René Germanier, actuel président du Conseil national.
Quelques règles:
– Vous pouvez mettre deux noms.
– Il n’y a pas de suffrage de parti: cela signifie que mettre le nom d’une personne d’un autre parti que le PLR ne diminue pas les chances d’élection de Jean-René Germanier.
– Jean-René Germanier aura de bonnes chances d’être élu, et donc de permettre l’élection d’un PLR de plus au Conseil national, s’il y a ballotage partiel, c’est à dire si un candidat est élu au premier tour, comme par exemple un candidat du parti majoritaire qui a de fortes chance d’élection. -
Mon comité de soutien
Ces personnalités soutiennent ma candidature au Conseil national. Et vous ?
La liste au format PDF ou au format PNG. -
Billag: changer de modèle
Le 12 septembre dernier, le Conseil national a décidé de changer le mode de paiement de la redevance TV/Radio prélevée par la société Billag : désormais, tout un chacun passera à la caisse, le fait de posséder ou non un appareil permettant de capter les chaines publiques et privées n’étant plus déterminant.
Bien que décriée, cette solution me semble juste. A l’heure où quasiment tous les appareils électroniques permettent d’écouter la RSR et de regarder la TSR, faire la distinction entre un ordinateur et un téléviseur est de plus en plus difficile. Maintenir la pratique actuelle aurait irrémédiablement conduit à créer une usine à gaz administrative coûteuse et inutile.
Ce qui ne va pas, c’est Billag. Et le montant de la redevance.
Dans la mesure où chacun est tenu de payer une taxe annuelle, rien ne justifie le maintien d’une administration fédérale des contributions bis dont les coûts administratifs atteignent des sommets. Sauf à vouloir laisser à Swisscom un monopole supplémentaire, ne pas inclure la redevance Radio/TV sur la feuille d’impôt est un non-sens technocratique que le Parlement pourra, je l’espère, bientôt corriger.
Se pose aussi la question du montant de la redevance. Vu que nous contribuerons bientôtt tous et que les frais administratifs s’atténueront, la taxe pourrait diminuer d’une centaine de francs sur les 462 qu’elle coûte actuellement selon la Confédération. C’est l’occasion de pousser la réflexion plus loin.
La redevance Radio/TV a été conçue à une époque où les médias se consommaient comme un roman. Impossible de suivre le fil sans se plier au programme décidé par la chaine, le producteur de contenu et son diffuseur étant par la nature des choses intimement liés. Internet a complètement bouleversé la donne. Grâce au Podcast et à la vidéo sur demande, chacun peut construire son propre programme et les nouvelles technologies renforcent encore les possibilités de choix.
Se pose la question de savoir s’il est nécessaire de maintenir une redevance télévisée aussi élevée qu’actuellement. Bluewin TV a récemment acquis les droits de diffusion des matchs de la Super league. De nombreux commentateurs ont crié à l’injustice, faisant fi de l’évolution médiatique. Pourquoi diable les passionarias du football ne pourraient-ils pas débourser quelques francs pour suivre le championnat ? Nous pourrions enfin revenir sur l’injustice crasse qui veut que seuls certains sports méritent un soutien massif alors que les autres sont condamnés aux abîmes des rediffusions nocturnes ?
Ce principe peut facilement être élargi à une grande partie de la production médiatique. Films, téléfilms, musique, reportages, pourquoi ne pourrait-on pas payer ce que l’on regarde et ce que l’on écoute ? Une taxe de base, bien plus faible que l’actuelle, doit impérativement être maintenue, je le conçois, afin de financer les productions qui remplissent un intérêt public évident. Rien n’interdit par contre qu’une partie de la production ne puisse être regardée que contre paiement d’un abonnement ou d’un droit de consultation ponctuelle. Globalement, le coût total de la redevance, additionnée des dépenses personnelles ne devrait pas, en moyenne, dépasser le coût actuel de la taxe. On paierait alors pour ce que l’on consomme vraiment, sans démolir pour autant le service public.
Cette adaptation prendrait enfin compte le fait que la télévision et la radio ont énormément changé depuis l’apparition des premiers transistors et que nous pouvons enfin proposer un service à la carte. La grogne – justifiée – que les consommateurs ont exprimé contre Billag trouverait enfin une réponse politique et technique, sans pour autant péjorer la qualité du service. Et plutôt que subventionner des chaines, pourquoi ne pas soutenir les programmes qui remplissent vraiment un intérêt public ? Il est grand temps de profiter enfin des possibilités que nous offre le XXIème siècle. -
Je reviens au chalet familial pour dormir et jouer au flipper
Article du Matin Dimanche du 18 septembre 2011 dans la rubrique « Chez Lui »
MONTAGNARD A 27 ans, il a un agenda de ministre. En pleine campagne électorale, le jeune politicien libéral-radical n’a plus le temps de se cuire un œuf. Alors il est retourné «crécher» chez ses parents dans son fief de Morgins, là
où il a vingt ans de souvenirs…
L’article en PDF -
Film officiel de ma campagne
Grâce à David Schaller, j’ai le plaisir de vous présenter le film officiel de ma campagne. Reprenant les grandes lignes de mon discours d’investiture du 31 mars 2011, il sert de fil rouge pour la dernière partie de la campagne, l’élection ayant lieu dans 6 semaines.
Retrouvez le film en HD sur Viméo à l’adresse ou directement ici.
N’hésitez pas à le partager plus loin sur facebook, twitter, par email et partout !
Philippe Nantermod – PLR – Candidat au Conseil National from David Schaller on Vimeo.
Philippe Nantermod – PLR – Candidat au Conseil National from David Schaller on Vimeo.
-
Argent-trop-cher.ch: le site des mauvaises affaires !
Communiqué de presse du 26 août 2011
Argent-trop-cher.ch : stop aux prix abusifs des produits importés !
C’est certain, la force du franc fort pèse sur la vitalité de l’économie helvétique. Les Suissesses et les Suisses s’attendent à des diminutions de salaire et à des suppressions de poste de travail. Revers de la médaille, le prix des produits importés devrait a contrario diminuer, ce qui n’est pas le cas. Depuis décembre 2010, l’indice des prix importés a même augmenté de 0.5 point. Face à cette situation, le candidat PLR Philippe Nantermod lance une action sur internet : le site www.argent-trop-cher.ch !
Reprenant le célèbre tube de Téléphone, le site web propose aux internautes de publier des exemples d’abus. Une BMW vendue 49’000 euros en Allemagne et 75’610 francs en Suisse, malgré une différence de TVA de près de 12 % en faveur du consommateur helvète ? La location d’un logiciel Adobe pour 49 dollars ou 102 francs, pour un service qui n’implique aucun intermédiaire sur le sol suisse ? Ces situations sont inacceptables et doivent être dénoncées.
Faire nos achats à l’étranger constitue un moyen de pression insuffisant et dangereux. Il n’est pas acceptable que les commerces suisses fassent les frais de la cupidité d’une poignée de sociétés étrangères. Pour cela, le candidat Philippe Nantermod propose de réunir des exemples qui illustrent le paradoxe entre un franc fort et des produits importés chers. Les importateurs et producteurs seront d’ailleurs invités à s’expliquer sur les causes de ces différences de prix.
A terme, si ces sociétés ne veulent pas traiter sans discrimination les consommateurs suisses et européens, d’autres mesures plus drastiques devront être étudiées. On peut citer à titre d’exemple la possibilité donnée aux autorités d’amender les abus en taxant les importateurs à hauteur de la plus-value non justifiée ou un boycott des autorités vis-à-vis de ceux qui ne montrent aucune gêne à vendre aux Suisses à des prix impossibles.
Après sa proposition concernant le remplacement de la ComCo par une Cour de la Concurrence, Philippe Nantermod continue de proposer des solutions concrètes pour le pouvoir d’achat. -
Meeting électoral: "Silicon Valais, c'est pour demain ?"
La saison électorale démarre avec un grand meeting organisé par le candidat bas-valaisan sur le thème des nouvelles technologies et de leur impact pour le Valais et pour la Suisse. Tous les « amis facebook » de Philippe Nantermod sont invités ! Pour l’occasion, nous recevrons :
– Pierre-Yves Revaz, de l’agence up-all-night.ch, spécialiste de la communication sur les réseaux sociaux
– Thierry Weber, de thierryweber.com, spécialiste de la communication vidéo sur internet
– Pascal Marmier, en vidéoconférence de Boston, directeur de swissnex Boston, plateforme de relations et projets en technologie et innovation.
D’autres personnalités s’exprimeront encore en direct ou par vidéo interposée.
La conférence sera diffusée en direct sur Internet. Les participants réels et virtuels pourront commenter et poser leur question via Twitter en utilisant le hashtag #nantermod. De cette manière, une véritable interaction entre le public et les intervenants sera possible.
L’événement, ouvert à toutes et à tous, se déroulera le :2 septembre 2011, dès 19h00,
à la Salle du Roxy, St-Maurice, Valais
Ce meeting sera l’occasion de lancer plusieurs éléments importants de la campagne de Philippe Nantermod, dont le programme détaillé sur le thème des nouvelles technologies. D’autres surprises sont prévues pour cette soirée qui sera clôturé par un apéritif offert à tous les participants.
L’événement sur Facebook. -
Charte des consommateurs : pourquoi je la signe
Der Konsumentenschutz ist ein zentrales politisches Anliegen, und zwar vom linken bis rechten politischen Lager. Die Allianz der Kosumentenschutzorganisationen, darunter die Fédérati-on romande des consommateurs (FRC), schlagen den Kandidaten der eidgenössischen Wah-len die Unterzeichnung einer Charta vor, welche ein eigentliches Gesetzgebungsprogramm zu diesem Thema beinhaltet. Ich habe mich entschieden, diese Charta zu unterzeichnen, allerdings mit einigen Vorbehalten, wie sie denn auch von der FRC zugestanden werden.
Im vergangenen Jahrzehnt bereiteten die Konsumentenverträge den Bürgern regelrechtes Kopfzer-brechen. Sie empfinden denn auch eine vollkommene Ohnmacht gegenüber den Grossverteilern und Dienstleistungsanbietern. Stillschweigende Vertragsverlängerungen, « unbegrenzte » Verträge, die in Wahrheit sehr begrenzt sind, sowie einseitig abänderbare Allgemeine Geschäftsbedingungen sind Praktiken, die allesamt der Vertragsfreiheit sowie Treu und Glauben zuwiderlaufen. Die von der FRC vorgeschlagenen Massnahmen sind daher unterstützungswert, die Sammelklagen miteingeschlossen.
Was die Finanzdienstleistungen betrifft, hat eine mangelnde Transparenz zahlreiche Konsumenten dazu verleitet, risikobehaftete Produkte zu erwerben, ohne sich dessen bewusst zu sein. Die Vor-schläge der FRC beschränken nicht die Wirtschaftsfreiheit, räumen den Bankkunden indessen eine eigentliche Auswahl ein.
Was die digitale Welt und die Telekommunikation anbelangt, befürworte ich die Forderungen nach einem erleichterten Wechsel eines Anbieters, einem einfacheren Vergleich der Tarife und einer Ver-stärkung der Konkurrenz. Allzu oft vergisst man, dass die Telekommunikationsanbieter eine Konzes-sion des öffentlichen Rechts innehaben, die ihnen auch namhafte Verpflichtungen auferlegt, die nicht mit denjenigen eines unabhängigen Unternehmers vergleichbar sind. Ich bin hingegen skeptisch, was den Datenschutz betrifft, denn ein Übermass davon kann zahlreiche innovative Firmen im Bereiche der neuen Technologien dazu verleiten, die Schweiz zu verlassen, ohne dass der Schutz der Benutzer dadurch erhöht würde. Denn ein in den USA angesiedelter Online-Anbieter umgeht die schweizeri-sche Gesetzgebung und bleibt trotzdem für die Schweizer Bürger zugänglich.
Die Vorschläge zum Gesundheitswesen unterstütze ich ebenfalls. Die Qualität der Pflegeleistungen muss ein zentrales politisches Anliegen sein, ohne aber Massnahmen zur Vermeidung einer Kosten-explosion zu unterlassen. Es gilt, den Patienten verstärkt in die Verantwortung zu nehmen.
Die Produkte- und Lebensmittelsicherheit rechtfertigt ebenfalls, dass einige Vorschläge der FRC in Betracht gezogen werden, insbesondere hinsichtlich der Rückverfolgbarkeit der Lebensmittel. Die Gesetzgebung muss an die Nanomaterialien angepasst werden, ohne aber die Forschung und Inno-vationen gänzlich zu verhindern.
Ich verpflichte mich ebenfalls, die Vorschläge betreffend die Ernährung zu unterstützen, allerdings mit einigen Vorbehalten. Es ist nicht immer offensichtlich, eine perfekte Produktebeschreibung sicherzu-stellen, insbesondere für importierte Lebensmittel. Rein kosmetische Verbesserungen, die lediglich zu einem Kostenaufschlag führen, der direkt auf die Konsumenten abgewälzt wird, sind kontraproduktiv. Ich schliesse mich deshalb diesem Kapitel nicht an, obwohl ich ihn dem Grundsatz nach unterstütze.La protection des consommateurs est un élément central des politiques publiques, que l’on soit de gauche ou de droite. La Fédération romande des consommateurs propose aux candidats aux élections fédérales de signer une charte qui établit un véritable programme de législature en la matière. J’ai décidé de signer cette charte en émettant quelques petites réserves, ce qu’autorise la FRC.
Durant la dernière décennie, les contrats de consommation sont devenus un véritable casse-tête pour des citoyens qui ont l’impression d’être systématiquement impuissants face à la volonté des grands distributeurs ou fournisseurs de services. Les reconductions automatiques, les contrats « illimités » qui sont en réalité très restreints et les modifications unilatérales des conditions générales constituent des pratiques contraires à la liberté contractuelle et à la bonne foi. Les mesures proposées par la FRC méritent d’être défendues à ce titre, y compris les actions de groupe.
En ce qui concerne les services financiers, le manque de transparence a conduit de nombreux consommateurs à acquérir des produits risqués sans s’en rendre véritablement compte. Les propositions de la FRC ne limitent pas la liberté économique mais garantissent un véritable choix pour les clients des instituts bancaires.
En matière numérique, je soutiens le principe de faciliter le changement d’opérateur, d’améliorer les moyens de comparer les offres et de renforcer la concurrence. Trop souvent, on oublie que les opérateurs téléphoniques sont titulaires d’une concession de droit public, ce qui leur impose des obligations qui ne sont pas celles de tout entrepreneur indépendant. Je suis cependant dubitatif concernant la protection des données : à trop en faire, la Suisse risque de faire fuir nombre de sociétés très innovantes dans le domaine des nouvelles technologies, sans pour autant garantir la protection des données des internautes. Un service en ligne basé aux Etats-Unis échappera certainement à la législation helvétique tout en étant accessible aux citoyens suisses.
Je soutiens l’essentiel des propositions de la FRC en matière de santé. La qualité des soins doit être au cœur des politiques publiques tout en prenant les mesures possibles pour éviter une explosion des coûts, notamment en responsabilisant davantage les patients.
La sécurité alimentaire mérite aussi que les propositions de la FRC soient prises en compte, notamment en ce qui concerne la traçabilité des aliments. La législation doit être adaptée aux nanomatériaux, sans pour autant entraver la recherche et l’innovation.
Je m’engage à soutenir encore les propositions en matière alimentaire qu’évoque la FRC, avec cette fois quelques bémols. Il n’est pas forcément toujours évident d’assurer un étiquetage parfait, surtout pour des denrées importées, et des améliorations cosmétiques ne doivent pas être réalisées au prix d’une explosion des coûts, directement répercutés sur le consommateur. Je n’adhère donc pas à ce chapitre, bien que je le soutienne pour l’essentiel.
Le site internet de la FRC sur la Charte des consommateurs.