Communiqué de presse des jeunes libéraux-radicaux suisses du 13 décembre 2012
Les jeunes libéraux-radicaux suisses peinent à cacher leur joie suite à la décision fédérale d’interdire les sacs en plastique. Le choix courageux du Parlement permettra enfin de mettre un terme à la terrible pratique qui s’est développée ces dernières années : les citoyens suisses, irresponsables par nature, ont en effet pris pour habitude de gaspiller inutilement ces cabas gratuits et de les jeter en masse dans les lacs suisses, provoquant la mort inéluctable des tortues protégées. Les jlrs demandent d’autres mesures pour lutter contre l’irresponsabilité individuelle.
Les images terribles des tortues agonisantes, étouffées par les sacs en plastique, sur les bords du Lac Léman n’ont heureusement pas laissé de marbre les autorités fédérales. De plus en plus de citoyens suisses, malgré les couteuses campagnes de prévention, n’ont pas hésité à faire un usage inconsidéré de sacs en plastiques sans prendre conscience des dégâts écologiques que leur activité nauséabonde entraînait.
A l’image de l’interdiction de l’importation de dauphin, les jeunes libéraux-radicaux se réjouissent que le Parlement fédéral se saisisse enfin des défis primordiaux qui guettent la Suisse pour les prochaines années. Durant trop longtemps, les Chambres n’ont traité que de sujets secondaires et rébarbatifs, comme la défense du secret bancaire ou les politiques d’investissement et de formation.
Pour les jlrs, le Parlement doit continuer sur sa bonne lancée et se décider enfin à interdire, entre autres, l’huile de palme, les livres numériques, la saccharose, les téléphones mobiles de première génération, les véhicules à quatre roues motrices et l’eau minérale en bouteille. L’Histoire l’a montré : les Suissesses et les Suisses sont par nature irresponsables et il est urgent que l’Etat prenne les choses en mains.
Enfin, les jlrs remercient le Conseiller national Dominique de Buman, auteur de l’interdiction, pour son action continue en faveur d’un monde de paix, de justice sociale et d’équilibres écologiques.
Laisser un commentaire