Emission Forum sur RTS La Première du 14 février 2013
Christian Varone, poursuivi en Turquie pour avoir tenté d’exporter une pierre archéologique, connaîtra son sort judiciaire après son éventuelle élection au Conseil d’Etat. Le Tribunal d’Antalya a en effet décidé ce jeudi de fixer une nouvelle audience au 19 mars prochain. Par l’envoyé spécial de de RTSinfo à Antalya, Mehmet Gultas, avec les interviews de Philippe Nantermod, avocat, membre du comité directeur du PLR Valais, co-président des Jeunes PLR Suisse et député, et d’Oskar Freysinger, candidat au Conseil d’Etat valaisan, vice-président de l’UDC suisse
[dewplayer:http://download-audio.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/2013/forum_20130214_standard_developpement-1_d474ad51-d6b7-4517-aea2-a76dbc61b426-128k.mp3]
Catégorie : Médias
-
Débat sur Forum à propos de Christian Varone
-
Placer Monthey sur la ligne CFF du Simplon
Postulat déposé le 13 février 2013.
L’article du Nouvelliste du 13 février 2013 sur la question en PDF.
La question de la mobilité dans le Chablais occupe les esprits depuis plusieurs années et de nombreuses options de rénovation de l’AOMC ont été proposées, une solution apportant gain de productivité de l’AOMC et amélioration notable de la sécurité est aujourd’hui en cours d’étude, pour une mise en service vers 2017 ou 2018.
Il s’avère toutefois que l’avenir ferroviaire de la deuxième ville du canton ne peut pas s’envisager sérieusement sans étudier la possibilité d’améliorer la ligne CFF Lausanne – Brigue, pour proposer un complément d’infrastructure passant par Monthey et soutenant un trafic interrégional à côté du trafic local fourni par l’AOMC.
Un tel changement amènerait sans aucun doute une amélioration notable de la qualité de vie de tous les Chablaisiens, un usage accru des transports publics pour les échanges entre l’arc lémanique et le Chablais, une limitation du trafic dans la zone commerciale de Collombey-Muraz et apporterait un nouveau souffle au développement économique de la région.
Il est clair qu’un tel aménagement doit s’inscrire dans une vision prospective à l’échelle de la région, pour un horizon plus lointain que 2018. Mais au vu du fort développement qu’ont connu ces quinze dernières années le bas-Valais et le Chablais, il est essentiel que soient initiées de telles démarches, afin que les deux cantons, la région et ses communes disposent d’éléments de réflexion, qui le moment venu, pourront être présentés et défendus auprès de nos Autorités fédérales, pour assurer un développement concerté et raisonnable de nos territoires.
Cela étant, le Conseil d’Etat est prié d’étudier la possibilité de créer un complément d’infrastructure ferroviaire connectant Aigle à St-Maurice via Monthey, en valorisant l’actuelle voie dite du Tonkin, d’en estimer sommairement le coût et, le cas échéant, de proposer des mesures conservatoires simples pour préserver sa faisabilité et d’étudier dans les grandes lignes, des options envisageables de financement, notamment via le fonds pour les grands projets du XXIème siècle, le projet ZEB ou une possible intégration dans les futures mesures FAIF-PRODES, actuellement en cours d’élaboration à la Confédération. -
Christian Varone et son chef de "com": le choc des cultures
Emission Forum du 6 février 2013, sur la RTS.
Comment analyser l’étonnante communication politique de Christian Varone? Le commandant de la Police valaisanne, candidat au Conseil d’Etat lors des élections de mars prochain, se met à nouveau en scène dans une vidéo sur Internet, mise en musique par Philippe Nantermod. Le duo Varone-Nantermod ne semble pourtant pas évident à première vue: deux lectures, deux manières opposées de faire de la politique. Comment décrypter cette surprenante dichotomie? Par Raphaël Grand, avec l’interview de Philippe Nantermod.
[dewplayer:http://download-audio.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/2013/forum_20130206_standard_developpement-7_40958ad8-8df1-4f0c-b5ff-57adf8de6ab4-128k.mp3] -
Le PLR dit nettement non à la LAT
Emission Forum du samedi 2 février 2013.
Le PLR dit finalement non à la Loi sur l’aménagement du territoire (LAT). Les quelque 300 délégués du parti réuni ce samedi à Zurich ont longuement débattu. Mais au final le non à la LAT le 3 mars l’a emporté par 185 voix contre 85 (et 5 abstentions), un score assez net, mais ce n’est qu’une demi-surprise. Par Thibaut Schaller, avec les interviews de Philippe Nantermod, député suppléant au Grand Conseil valaisan et de Raphaël Comte, Conseiller aux Etats neuchâtelois.
Ecouter l’émission: [dewplayer:http://download-audio.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/2013/forum_20130202_standard_developpement-2_bf4821fa-df2e-40d2-88be-043dc8290a03-128k.mp3] -
Bête de "com" du PLR
Article du 24 heures du 14 janvier 2013.
Le jeune Valaisan n’a qu’un mandat de député suppléant au Grand Conseil. Pourtant on le voit et on l’entend partout. Par Fabian Muhieddine. -
La Suisse ne doit pas céder aux rêves impérialistes français
Communiqué de presse des jeunes libéraux-radicaux suisses du 7 janvier 2013
Malgré la visite de notre ministre des finances à Paris en décembre, le gouvernement français, en renonçant unilatéralement et sans avertissement à l’application de la convention de double imposition aux bénéficiaires d’un forfait fiscal, montre une fois de plus ses visées impérialistes que les jeunes libéraux-radicaux dénoncent. La Suisse doit rappeler à la France sa souveraineté et refuser de devenir un satellite du nouvel Etat socialiste au centre de l’Union européenne. Les méthodes françaises ne sont pas dignes du concert des nations.
Malgré les promesses et les espoirs d’Evelyne Widmer-Schlumpf, il apparaît que le gouvernement socialiste français n’est prêt à aucune concession dans sa tentative de faire appliquer de force ses visions collectivistes à ses voisins. Paris a ainsi décidé unilatéralement et sans avertissement de ne plus appliquer la convention de double-imposition de 1966 en faveur des bénéficiaires du forfait fiscal.
Après l’utilisation de données bancaires volées, le chantage dans le cadre de négociations sur la fiscalité des successions, c’est maintenant l’adage « pacta sunt servanda » qui est mis à mal par notre voisin qui s’apparente de plus en plus à un Etat belliqueux, prêt à tout pour se remplir les poches.
Contrairement à ce que semble penser le gouvernement français, la Confédération helvétique n’est plus la République helvétique et a perdu son statut de protectorat français. Notre souveraineté fiscale n’est pas négociable et, comme le veut l’adage, les contrats doivent être respectés.
Dans un objectif manifeste d’imposer ses vues à la Suisse, le gouvernement français se montre ainsi prêt à violer ouvertement ses engagements, au nom d’une morale pour le moins douteuse d’un pays qui est incapable de gérer correctement ses finances publiques depuis plus de trois décennies.
Dans ces conditions, les jeunes libéraux-radicaux invitent la Confédération à geler immédiatement toute négociation fiscale avec la France ainsi que toute démarche d’assistance administrative et judiciaire en la matière. La Confédération doit aussi étudier aussi la possibilité de conserver l’ensemble de l’imposition des frontaliers français. L’angélisme et la naïveté de notre ministre des finances montre enfin son incapacité à gérer un dossier qui doit lui être retiré au plus vite. -
Exploiter l’électricité ? Un risque inconsidéré !
Publié dans le Confédéré, le 14 décembre 2012
Dans le débat sur le retour des concessions hydrauliques, de plus en plus de voix se lèvent pour réclamer que l’Etat et les communes produisent l’électricité au lieu de vendre de nouveaux droits d’exploitation de nos cours d’eau.
Démagogue, la proposition revient à affirmer que le Valais doit rester maître de ses ressources, étant sous entendu qu’en laissant des sociétés extérieures au canton produire l’électricité, notre vieux pays perdrait de sa souveraineté.
Au delà des arguments émotionnels et des discours de cantine, il convient de remettre les concessions hydrauliques dans leur contexte. Le Valais et ses communes deviennent petit à petit propriétaire d’installations hydrauliques importantes valant des sommes astronomiques. Quel que soit le modèle choisi, le producteur d’électricité cherchera à vendre des kilowattheures à des particuliers et à des entreprises.La question qui se pose est simple : le capital ou la rente ? En attribuant les concessions hydrauliques, les autorités cantonales vendront l’électricité « en gros » plutôt qu’au détail, mais s’assureraient des rentrées financières colossales qui permettront à leur tour des investissements diversifiés, facteur du diminution du risque. A contrario, renoncer aux milliards de la vente des concessions pour exploiter nous même l’électricité permettra peut-être de gagner plus d’argent, mais pas forcément. Prendre le risque, et quel risque !
La question centrale est la suivante : la valeur de l’électricité hydraulique va-t-elle augmenter ou diminuer en moyenne durant les 80 prochaines années, durée des concessions ? Certains en sont persuadés, c’est pourtant beaucoup moins évident qu’il n’y paraît. Il suffit de regarder dans le rétroviseur pour comprendre qu’en huitante ans, il peut se passer beaucoup de choses.
Lorsque les premiers barrages ont été construits, nous ne connaissions pas de production électrique nucléaire, éolienne ou solaire. La biomasse s’appelait fumier et la concurrence de l’hydraulique tournait au charbon. Qui peut oser dire que la situation de la production d’électricité restera la même dans les prochaines décennies alors qu’on parle déjà de fusion et de thorium ? Il y a deux ans, la majorité de la classe politique pariait encore sur la construction de deux nouvelles centrales atomiques à terme, projets aujourd’hui enterrées mais qui auraient eu des effets majeurs sur le coût du kilowattheure. Cela sans soulever la question du réchauffement climatique et des effets qu’il pourrait avoir sur notre production électrique, sans compter que les mesures d’économies prônées et appliquées pourraient bien avoir des effets sur la demande à long terme.
En choisissant de mettre tous ses œufs dans le même panier et en prenant seul le risque de l’évolution du marché électrique, le Valais et ses communes commettraient une lourde erreur financière. Un tel risque ne doit pas être pris par les collectivités publiques. Au contraire, le modèle choisi il y a quatre-vingts ans reste le bon : vendre les concessions hydrauliques aux plus offrants et réinvestir cet argent dans des projets porteurs. Et pourquoi pas quelques projets énergétiques justement ? -
Le PLR veut freiner l'expansion de l'Etat
Article du 14 décembre 2012 du Nouvelliste à propos du Frein à l’expansion de l’Etat que le PLR VS a déposé au Grand conseil.
Article du Nouvelliste en PDF -
Accord Suisse/USA : Les jlrs refusent une nouvelle brèche dans le secret bancaire
Communiqué de presse des jeunes libéraux-radicaux suisses du 5 décembre 2012
La Conseillère fédérale Widmer-Schlumpf a annoncé hier la signature d’un accord avec les Etats-Unis prévoyant l’obligation de principe de livrer les noms des clients des banques, cela de manière générale. Cette démonstration de force de l’impérialisme américain est vivement rejetée par les jlrs qui demandent l’adoption de nouvelles règles claires pour la négociation de futurs accords et un moratoire dans l’intervalle.
Les jlrs s’offusquent de constater que le nouvel accord signé avec les USA prévoit la livraison de principe des noms des clients des banques suisses en fonction de leur nationalité, et non plus en fonction du lieu de conclusion du contrat.
Ce projet est inacceptable au regard de la souveraineté suisse et des principes généraux du droit. Les Etats qui ont été incapables de gérer correctement leurs finances publiques font aujourd’hui les fonds de tiroir et s’avèrent prêts à violer allègrement les règles en matière de vie privée pour éviter d’entreprendre les vraies mesures d’économie qui s’imposent.
Autre soucis, la méthode. Aux yeux des jlrs, il est inacceptable que ces accords soient signés avant d’être publiés. Cette nouvelle forme de diplomatie secrète est totalement contraire aux valeurs démocratiques suisses et doivent être désormais interdites. Le Conseil fédéral n’a en aucun cas la légitimité pour placer le Parlement et le peuple devant des faits accomplis. Si ces accords sont bons, les négociations ne doivent pas être cachées.
D’une manière générale, les règles doivent être redéfinies pour la négociation de pareils accords. L’intérêt primordial à prendre en compte doit toujours être celui du peuple suisse et les valeurs de la Confédération, au rang desquelles figure la protection de la sphère privée et des libertés individuelles. Les intérêts des Suisses priment en tous cas sur celui des autorités fiscales suisses ou américaines. En attendant qu’un nouveau code de conduite soit adopté, les jlrs exigent un moratoire interdisant la poursuite de négociations similaires. A trop réduire le secret bancaire, le Conseil fédéral prend sérieusement le risque d’un référendum populaire en sa défaveur. -
Christian Varone est le candidat du PLR valaisan pour le Conseil d'Etat
Au terme d’une discussion de fond, le comité directeur du PLR valaisan a décidé à l’unanimité sans abstention de maintenir sa confiance en Christian Varone qui représentera les couleurs du PLR VS pour l’élection au Conseil d’Etat du 3 mars 2013. Ce jour-là, le peuple devra encore élire son Grand Conseil et se prononcer sur la révision de la LAT contre laquelle nous nous engageons fortement.
Débat sur Forum sur la RTS La Première du 27 novembre 2012
[dewplayer:http://download-audio.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/2012/forum_20121127_standard_developpement-1_007eec58-988f-4f4c-b08b-6a6fcca73f2a-128k.mp3]
C’est probablement le pire scénario qui s’est déroulé ce mardi matin à Antalya en Turquie pour Christian Varone, candidat PLR au Conseil d’Etat valaisan en mars prochain. Le procès pour la fameuse pierre ramassée par l’actuel commandant de la Police cantonale durant ses vacances a été repoussé au 14 février 2013, soit trois semaines seulement avant les élections. La réaction de Georges Tavernier, président du PLR valaisan, avec l’analyse de Raphaël Grand, et un débat entre les avocats Philippe Nantermod, membre du comité directeur du PLR valais et député, et de Stéphane Riand.